Albert est Taureau, ascendant Vierge;
sa planète maîtresse
est Vénus,
astre symbolisant la beauté, l’affectif, le pouvoir de séduction, voire une sensualité exacerbée.
Le thème établi par Amandine, l’astrologue toulousaine, à la date du 2 Mai 1963 à 15h20 (heure de la naissance
d’Albert) met d’emblée
en évidence le côté passionné de l’intéressé, subissant largement l’influence de Mars qui incarne
le fougue, l’élan.
Face, presque en opposition à cette énergie jaillissante,
il y a Saturne: la réserve,
l’inhibition des sentiments,
ce qui sous-entend des passions secrètes... inavouées.
Notre Taureau met néanmoins de la distance par rapport aux choses de la vie, il relativise et affiche à terme
quelques tendances humanistes.
A sa naissance, le Soleil est dans la Maison 8, le secteur qui symbolise la mort.
Au demeurant,
l’astrologue affirme qu’Albert, tout au cours de sa vie, butera sur quelques préoccupations conscientes ou
inconscientes relatives à la mort.
Cet après-midi de Mai 1963, la Lune noire est en Scorpion:
ce qui convient de traduire par
une quête d’absolu,
de vérité et une grande lucidité, celle dont René Char disait quelle est la brûlure la plus proche du Soleil.
Mais cette conjoncture spécifique privilégie chez ces êtres le regard.
Ce regard qui devient un
cri, une arme.
C’est un silence qui parle.
Par ailleurs, le trio Uranus-Pluton-Lune en Maison 12
met en exergue une forme
de magnétisme magnifié, une profondeur d’âme et révèle, encore une fois, une forte sensibilité.
Mais Albert est aussi
Mecurien, cela implique une grande agilité, une aisance naturelle, une morphologie longiligne et
un sens inné de
la communication.
Mercure n’est-il pas le symbole du messager ?
Ces dominantes issues de son thème
astral reviendront singulièrement ponctuer et étayer le vie d’Albert.
D’étranges coïncidences diront
les sceptiques, d’étranges
conjonctures souligneront ceux qui ont la tête tournée vers ces chariots d’étoiles qui peuplent l’univers infini.
La tendresse d’une mère
, l’innocence d’un nouveau-né, l’éveil à la vie suffisent pour consacrer « ange »
celui que l’amour a engendré.
Fruit d’une authentique passion entre Maja et Jacques DELEGUE, Albert ne pouvait qu’aspirer à
cette confrérie d’enfants bien nés.
Au demeurant, dans la galaxie des anges planétaires, il est sous l’aile
protectrice d’Haziel, le premier des anges gardiens du choeur des chérubins, l’ange tutélaire de ceux qui sont
nés entre le 1er et le 5 Mai.
C’est par lui dit-on, que Dieu exprime sa miséricorde. On peut tout obtenir de lui mais plus spécifiquement
la réconciliation entre
les hommes, l’accomplissement des choses promises et de brillantes et solides amitiés.
Sous ses ailes
blanches et sur son
visage séraphique se lit une quête intérieur incessante...
Ce soir de Mai 1963, les étoiles rivalisent
d’influence, Haziel déploie ses
ailes et caresse de ses plumes blanches la joue de l’enfant qui dort.
Maja veille à ses côté.
Sait-elle que son Albert est sous haute protection céleste ?
J.P. ALAUX.